Petite expérience de recherche de nids de Gravelot à collier interrompu (Charadrius alexandrinus) cet été .. Pas en Auvergne bien sûr, où ne niche que le Petit Gravelot, mais sur l'Atlantique.
Bilan : il est beaucoup plus difficile à trouver ! Le couveur n'alarme pas quand un intrus est près du nid (un peu le même comportement que l’œdicnème), et part sans s'envoler, très discrètement. Il reste souvent quasi-immobile à quelques mètres du nid. Le plumage est également beaucoup plus cryptique...
Les images sont réalisées depuis une piste cyclable, à cinq mètres du nid. Les œufs ont été observés lors du passage d'un chien. Car au bord de la mer aussi, le dérangement est énorme (bien pire que le long de l'Allier)...
Hello
RépondreSupprimerSur les deux premières photos c'est un mâle les deux suivantes une femelle
Pour avoir suivi nombre de tentatives de reproduction sur la côte charantaise je trouve excessivement facile le repérage de son nid si on connaît le comportement de cette espèce
Ce gravelot souffre effectivement de la surfréquentation des plages considérées comme un milieu abiotique où tout est permis par le grand public
Son espèce jumelle d'Amérique (snowy plover) fait l'objet d'une protection renforcée appuyée sur des lois fédérales interdisant totalement l'accès à ses sites de reproduction ou d'hivernage
@+
François Lovaty
Bonjour,
RépondreSupprimer"Excessivement" facile, euh, pas pour moi.... mais il est vrai que je n'ai pas l'habitude.
Cordialement
FG
Oups! Je corrige ma faute d'orthographe:charentaise s'écrit comme les pantoufles
SupprimerFL